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REER : PLUS OU MOINS DE COTISATIONS?

20 février 2009

(20 février 2009) – Près de 60% des Québécois, âgés entre 25 et 44 ans, auraient l'intention de contribuer à un REER en 2009 et 38% y déposeront le même montant que celui cotisé en 2008, selon un sondage mené par Léger Marketing pour le compte du Fonds de solidarité FTQ. Seulement 15% des répondants âgés entre 25 et 44 ans auraient l'intention d'augmenter le montant de contribution de leurs REER. Près de 25% du même groupe de répondants prévoient ne pas contribuer à un REER en 2009. Ce sont près de 36% des ménages de classe moyenne du Québec qui n'auraient pas réussi à épargner en 2007. Lorsqu'on regarde la moyenne de l'épargne des ménages qui ont réussi à économiser, elle se situe à 1 800$. Près 72% de ces ménages ont mis de côté moins de 3000 $ pour leur retraite cette année. Chez Léger Marketing, on déplore une certaine culture de la dépense, surtout chez les plus jeunes, pour qui les boomers ont été « de très mauvais professeurs. » « Chez les jeunes de moins de 40 ans, la situation est encore plus problématique, car la génération cash flow a tendance à ne pas faire de budget, à ne pas prioriser l'épargne, à éparpiller son avoir et à gérer trop à court terme », a souligné Christian Bourque, vice-président à la recherche chez Léger Martketing. Un problème d'épargne En effet, la stratégie généralement priorisée n'est pas la retenue sur la paie ou les dépôts pré-autorisés, mais plutôt le dépôt unique à la fin de l'année fiscale s'il reste un peu d'argent aux ménages. Seulement 13% des répondants utilisent le mode de contribution au REER par retenue sur le salaire alors que 22% connaissaient ce mode de fonctionnement, mais n'y étaient pas intéressés. Selon les données de Statistique Canada, la moyenne du taux d'épargne des Québécois pour les trois premiers mois de 2008 est passée à 1,4% du revenu personnel disponible. Ce serait le plus faible taux d'épargne enregistré depuis 10 ans. Selon les chiffres présentés, en 2006 près de 40% de l'endettement des ménages provenaient des dettes de cartes de crédit alors qu'en 1991, ce type de crédit représentait seulement 20% de l'endettement des ménages. De plus, près de 49% du revenu des ménages est maintenant dépensé chez les détaillants, contre 43% en 1994, alors que le revenu n'a pas augmenté de façon significative. Le sondage a été mené auprès de sur Internet entre le 6 et le 13 janvier auprès de 1002 répondants québécois de 18 ans et plus. Source : Finance et Investissement

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